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Gustave Roussy se bat sur tous les fronts contre le cancer du sein
Tout n’est pas rose parce que le dépistage généralisé du cancer du sein n’est pas adapté à toutes les femmes et ne permet pas une détection suffisamment efficace.
En France, le dépistage généralisé du cancer du sein est proposé pour les femmes âgées de 50 à 74 ans. Or, le risque de développer un cancer du sein augmente rapidement dès 40 ans. Aussi, moins de 50 % des femmes de 50 à 74 ans se prêtent aux mammographies préconisées tous les 2 ans. Dans certains cas, les mammographies suspectes peuvent entraîner des biopsies inutiles voire engendrer un sur-diagnostic engendrant des traitements lourds pour des cancers du sein qui n’auraient jamais évolué.
C'est pourquoi Gustave Roussy lance un programme ambitieux de prévention et de dépistage personnalisés du cancer du sein.
"Toutes les femmes ont un risque de cancer du sein différent. Aujourd’hui, excepté pour les femmes à très haut risque, les dépistages mis en œuvre en Europe – qui varient d’un pays à l’autre – ne tiennent pas compte de ces différences.", Dr Suzette Delaloge, responsable du comité de pathologie mammaire de Gustave Roussy
⬢ L’unité de prévention personnalisée
Notre objectif : détecter le plus tôt possible les femmes à haut risque de développer un cancer du sein complexe, proposer des traitements moins lourds et offrir une meilleure qualité de vie aux patientes, pour mieux identifier les facteurs de risque de cancer du sein et suivre ces patientes sur le long terme.Tout n’est pas rose parce que 12 000 femmes décèdent chaque année en France de leur cancer du sein.
« La complexité génomique des cancers du sein avancés implique qu’il faut proposer aux femmes de nouvelles thérapies le plus tôt possible dans la maladie pour prévenir l’emballement métastatique et contrôler les métastases. » Pr Fabrice André, oncologue médical et directeur de la recherche à Gustave Roussy.
Sur les 54 000 femmes touchées chaque année par un cancer du sein, 5 % d’entre elles sont diagnostiquées d’emblée à un stade métastatique. Par ailleurs, 20 % des femmes touchées par un cancer du sein localisé développeront une récidive sous la forme métastatique et 80 % d’entre elles ne survivront pas.
Les patientes touchées par un cancer du sein métastatique ne peuvent être actuellement guéries, faute de traitement efficace ou en raison de résistances qui surviennent.
C’est le cas notamment de l’hormonothérapie qui est proposée aux patientes touchées par un cancer du sein métastatique : 70 % d’entre elles développeront des résistances à ce traitement.
Notre objectif : utiliser l’intelligence artificielle pour dresser le profil épigénétique des tumeurs, prédire les rechutes et les résistances aux traitements afin d’en limiter l’utilisation aux patientes qui rechuteront.
Tout n’est pas rose parce que la chirurgie du sein est souvent vécue comme une mutilation
« Promouvoir la reconstruction mammaire immédiate, c’est-à-dire la reconstruction du sein en même temps que l’ablation du sein est essentiel. Cette technique, insuffisamment pratiquée, pourrait bénéficier à une plus large majorité de patientes et améliorerait considérablement la qualité des résultats esthétiques et la satisfaction des patientes » Dr Nicolas Leymarie, chirurgien et chef du Département de chirurgie plastique de Gustave Roussy
Parce que l’impact psychologique et physique d’une ablation mammaire est important, Gustave Roussy innove et développe de nouvelles techniques chirurgicales moins invasives pour préserver la qualité de vie des patientes.
La reconstruction immédiate du sein après mastectomie est une avancée considérable de la chirurgie du cancer du sein, mais seulement 15 % des patientes en bénéficient en France.
Notre objectif : donner accès aux protocoles de reconstruction mammaire immédiate chaque fois que cela est possible.
Tout n’est pas rose parce que 1 femme sur 4 guérie d’un cancer du sein souffre d’une fatigue invalidante
"Il ne s’agit pas d’une simple fatigue, comme chacun peut en ressentir à la fin d’une longue journée de travail ou après une activité physique intense. À la fois physique, cognitive et émotionnelle, cette fatigue épuise les patientes. La moindre activité devient une vraie épreuve. Certaines n’arrivent plus à sortir de chez elles, leur vie bascule.", Dr Inès Vaz-Luis, médecin-chercheur et responsable de la consultation fatigue à Gustave Roussy
Parce que de plus en plus de patientes guérissent de leur cancer du sein, Gustave Roussy lance des programmes de recherche pour améliorer la qualité de leur guérison.
Chaque année, 30 000 patientes subissent une altération de leur qualité de vie liée aux toxicités des traitements compromettant dans certains cas leur adhésion aux soins. Une étude de cohorte a été mise en place pour mieux comprendre et prévenir l’apparition des effets secondaires.
Notre objectif : prédire et prévenir les risques de développer des effets secondaires à long terme et améliorer la qualité de vie pendant et après les traitements.

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