Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Cet essai clinique est mené pour tester un nouveau médicament expérimental appelé « NVL-520 » comme potentiel nouveau traitement/thérapie ciblée pour le CPNPC positif à ROS1 à un stade avancé et d’autres tumeurs solides. Le NVL-520 est une petite molécule hautement sélective, ce qui signifie qu’il cible et bloque spécifiquement la protéine ROS1.
Il s’agit d’une étude clinique chez des patients atteints d’un lymphome et de tumeurs solides à un stade avancé (cancer urothélial, cancer de l'ovaire à cellules claires, cancer de l'endomètre, mésothéliome et cancer de la prostate), déjà traités par un traitement standard et dont la maladie est en progression. Il s'agit d'une étude de phase 1/2, ce qui signifie que le CPI-0209 (médicament expérimental) est encore dans les premières phases de test et d'évaluation chez l'homme.
L’ABBV-151 est une immunothérapie bloquant la libération de TGF-β1 actif, composé qui freine la réaction immunitaire. L’ABBV-181 est une immunothérapie bloquant PD1 ; classe de médicaments ayant déjà prouvé son intérêt dans les mélanomes, les cancers du rein, les cancers ORL, les cancers du poumon… On suppose que la prévention de la libération de TGF-β1 permette une réponse immunitaire anti-tumorale plus efficace.
Cette étude de phase 1b/II concerne des patients atteints de cancer de la prostate avancé, dit métastatique résistant à la castration.
Cette étude évalue une immunothérapie, le pembrolizumab un anticorps anti-PD-1, en association avec des traitements standards ou innovants utilisés chez les patients avec un cancer de la prostate.
En France, environ 10% des patients atteints de cancer de la prostate présentent d’emblée une atteinte d’autres organes (métastases). Chez ces patients le traitement standard repose sur la privation androgénique (les hormones masculines), le plus souvent sous forme de médicaments injectables, associés à d’autres traitements (chimiothérapie et/ou comprimés d’hormonothérapie de nouvelle génération).
La chimiothérapie à haut dose est un traitement efficace dans le 30-70% des patients atteints d’une tumeur germinale qui a progressé après une chimiothérapie à base de sel de platine. Vu que cette maladie est usuellement diagnostiquée avant l’âge de 40 ans, les hommes qui guérissent après ce traitement ont une espérance de vie de 30-50 ans. Les effets secondaires à long terme et les conséquences physiques et émotionnelles peuvent donc avoir un impact significatif sur la vie quotidienne.
Etude s’adressant à des patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire (ou du péritoine, ou des trompes de Fallope) avancé opérées d’emblée avec une chirurgie complète. Elles sont incluses dans l’essai avant de démarrer la chimiothérapie. Elle sont randomisée après un premier cycle de chimiothérapie par Carboplatine et Taxol, entre soit
5 cycles de Carboplatine et Taxol suivis d’une maintenance par
Votre maladie est très sensible à l’hormonothérapie que souhaite vous prescrire votre médecin (ou que vous recevez déjà). C’est donc un traitement de référence dans votre pathologie.
C’est cependant une maladie rare et on n’a pas encore déterminé le temps optimal de durée de traitement.
Même si ces traitements en comprimés ou injections intramusculaires sont assez bien tolérés, ils peuvent donner des effets secondaires à long terme (déminéralisation osseuse, douleurs articulaires par exemple).
Il s’agit d’une étude du réseau national français des médecins spécialistes de la prise en charge des cancers réfractaires de la thyroïde (TUTHYREF).
L’os est le 2ème site le plus fréquent de métastases dans les cancers différenciés de la thyroïde. Les métastases osseuses sont à risque de complication et peuvent occasionner des douleurs, une fracture pathologique, une compression médullaire et/ou la nécessité d’une radiothérapie, d’un traitement en radiologie interventionnelle ou d’une chirurgie.