Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Il s’agit d’une étude multicentrique de phase 1, réalisée en ouvert, évaluant le JNJ-87704916 administré en monothérapie et en association avec le cétrélimab et/ou d’autres agents.
Il s’agit d’une étude de phase 2, en ouvert, multicentrique, en 2 parties, conçue pour évaluer la sécurité d’emploi, l’activité clinique et la pharmacocinétique du ZN-c3 (azénosertib) chez des patients atteints d’un cancer séreux de haut grade de l’ovaire, d’un cancer des trompes de Fallope ou d’un cancer péritonéal primaire résistant au platine (appelé cancer de l’ovaire résistant au platine [PROC]).
Cet essai clinique international randomisé de phase III (RCT), comparant la chimiothérapie alternative VCE à la chimiothérapie conventionnelle VAD, a été conçu par le SIOP-RTSG chez les patients atteints de néphroblastome métastatique (tumeur rénale de l’enfance), afin de diminuer la toxicité à long terme cardiaque, pulmonaire et/ou hépatique tout en préservant l'efficacité du traitement.
L'ART0380 est un type de médicament connu sous le nom d'inhibiteur de l'ATR. Cela signifie que l'ART0380 empêche une protéine appelée ATR de fonctionner dans le corps.
Les cancers des voies biliaires sont rares mais leur nombre augmente dans les pays développés. Le traitement du cholangiocarcinome intra-hépatique reste difficile : de nombreux patient(e)s sont atteint(e)s de tumeurs non opérables, les résultats d’une chirurgie seule restent imparfaits et le traitement par chimiothérapie, après opération chirurgicale, n’améliore que légèrement la survie des patients. Il reste donc un besoin important d’améliorer le traitement de cette maladie.
Pour les cancers localisés à la corde vocale de stade précoce (Tis et T1a) la radiothérapie et la chirurgie par voie endoscopie au laser ont une efficacité comparable en termes de contrôle local de la maladie cancéreuse. Cependant, à l’heure actuelle, il n’existe aucune étude prospective randomisée (à haut niveau de preuve) comparant ces deux méthodes thérapeutiques en termes de la qualité de la voix à long terme.