Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Il s’agit d’un essai de désescalade thérapeutique.
Les patients atteints d’un oligodendrogliome de bas grade traités par radiothérapie (RT) et chimiothérapie de type PCV sont à risque de présenter une détérioration cognitive à moyen ou long terme du fait de leur espérance de vie prolongée. Nous faisons l’hypothèse que retarder la RT en ne la réalisant qu’au moment de la progression de la tumeur pourrait réduire le risque de détérioration cognitive sans impact négatif sur l’espérance de vie.
L’objectif de ce protocole principal est de permettre la conduite des sous-protocoles. L’efficacité, la sécurité d’emploi, la pharmacocinétique et la pharmacodynamique du FORE8394 dans des sous-groupes définis de participants dont les tumeurs présentent des altérations de BRAF seront évaluées chez les participants inclus à chaque sous-protocole.
L’objectif de cette étude est de trouver une dose sûre et tolérable d’un nouveau traitement expérimental, le STP938, et d’évaluer s’il sera une option thérapeutique sûre et susceptible d’être efficace pour les patients atteints de lymphomes à cellules B et T récidivants ou réfractaires, qui ont reçu au moins 2 traitements systémiques antérieurs et n’ont aucune option thérapeutique disponible connue pouvant être associée à un bénéfice clinique.
Les mutations du gène PIK3CA sont fréquentes dans les tumeurs solides. Ces mutations activent et modifient la protéine PI3Kα, ce qui permet à la tumeur de survivre et de se développer.
Le RLY-2608 (médicament à l’étude) a été conçu pour cibler spécifiquement la PI3Kα mutée et éviter de potentiels effets indésirables susceptibles d'aboutir à l’arrêt du traitement.
L’étude vise à déterminer si l’elranatamab en monothérapie apporte un bénéfice clinique par rapport au lénalidomide en monothérapie chez des participants atteints d’un MMND après une greffe autologue de cellules souches. Les patients (~366) seront inclus selon un rapport de randomisation de 1:1 et une stratification par leur cytogénicité et leur schéma thérapeutique d’induction antérieur (+/- anticorps anti-CD38). Les participants seront traités jusqu’à la progression de la maladie ou autre critère d’arrêt de traitement et seront suivis jusqu’à leur décès ou autre fin prédéfinie.
Le but cette étude est de tester la sécurité et l'efficacité de REGN4018 seul ou avec le cemiplimab. L'objectif de l'expansion de la dose est d'utiliser les doses choisies lors de l'escalade de la dose pour voir dans quelle mesure REGN4018 réduit les cancers de l'ovaire, seul ou avec le cemiplimab. Ici, jusqu'à 120 patientes recevront les doses de REGN4018 seules ou avec le cemiplimab.