Etude de phase 1/2, en ouvert, non randomisée portant sur l’IMC‐F106C chez des patients HLA-A*02:01‐positifs atteints de cancers avancés PRAME positifs.
Cette étude est conçue pour évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance, la pharmacocinétique, l’immunogénicité, la pharmacodynamique et l’activité antitumorale de l’IMC-F106C, une immunothérapie, en monothérapie et en association avec un inhibiteur de point de contrôle immunitaire, une chimiothérapie ou une autre molécule immuno-mobilisatrice.
L’IMC-F106C est administré par voie intraveineuse toutes les semaines.
Le traitement standard des patients atteints d’un séminome de stade IIa/b, après orchidectomie, est une radiothérapie étendue lombo-aortique/iliaque homolatérale. La réalisation d’une chimiothérapie par 3 cures de BEP (bléomycine-étoposide-cisplatine) ou 4 cures d’EP (étoposide-cisplatine) est une alternative. Le choix optimal du traitement reste controversé car les deux modalités de traitement sont associées à une excellente efficacité mais également à des toxicités aiguës et tardives. Des stratégies de désescalade thérapeutique (i.e.
Le gédatolisib est un double inhibiteur puissant et réversible qui cible sélectivement la PI3K et la mTOR et peut restaurer la sensibilité à l'endocrinothérapie et prolonger la survie sans progression chez les patientes atteintes d'un cancer du sein avancé HR-positif, HER2-négatif, ayant précédemment reçu une endocrinothérapie. L’objectif premier est de comparer l'efficacité, mesurée par la survie sans progression, du gedatolisib en association avec le palbociclib et le fulvestrant.
Certains modulateurs de l'angiogenèse, agissant en particulier sur le VEGF, pourraient être utilisés en combinaison avec diverses stratégies immunothérapeutiques pour potentialiser l’infiltration des cellules immunitaires et l'administration de médicaments anticancéreux dans les tumeurs.
Chez l’enfant, l'objectif de cette étude de phase I est d'identifier la dose recommandée pour l'étude de phase II de spartalizumab (immunothérapie) en association avec une dose diminuée de pazopanib (VEGFR).
La radiothérapie est un outil majeur dans le traitement dans cancers de l’enfant. Dans le passé, les effets secondaires à long terme de la radiothérapie étaient limitants en raison de leur impact non négligeable sur la qualité de vie.
Au cours des dernières années, les techniques d’irradiation ont considérablement évolué et permettent de réduire les doses reçues par les tissus sains avec pour bénéfice potentiel une réduction des séquelles.
Dans le cadre de votre abonnement à sa newsletter, Gustave Roussy est amené à collecter des données personnelles vous concernant (nom, prénom, adresse courriel, adresse postale). Ces informations permettent de vous faire bénéficier de la newsletter d’information de l’établissement.
En tant que responsable de traitement de vos données à caractère personnel, Gustave Roussy s’engage à prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir la sécurité et la confidentialité des données vous concernant.