ASCO 2024

Gustave Roussy est présent au plus grand congrès annuel en cancérologie organisé par l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) du 31mai au 4 juin 2024. Ce temps fort rend compte des dernières innovations et résultats de recherche clinique en cancérologie.

Gustave Roussy au congrès de l’ASCO 2024 : une édition particulièrement riche

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Cancer du poumon - Les symptômes

Les symptômes du cancer du poumon

Deuxième cancer le plus fréquent chez l’homme, troisième chez la femme, le cancer du poumon est responsable chaque année en France de la mort de plus de 30 000 personnes. L’enjeu du dépistage est central : quand il est détecté tôt, le cancer du poumon est guérissable dans 80 % des cas.

CSET 3835

JNJ-87890387 est un anticorps bispécifique ciblant l’ENPP3 des cellules tumorales (prévalence d’environ 50% ou plus pour : cancers du rein, de l'endomètre, de l'utérus et de l'ovaire, colorectaux et du poumon) et le CD3 des lymphocytes T entrainant la lyse des cellules tumorales.

Les objectifs principaux de cette étude sont de déterminer la sécurité d’emploi et le schéma de RP2D(s).

Le traitement sera administré par voie sous-cutanée. Différents schémas de traitement peuvent être évalués, mais initialement le traitement sera administré une fois toutes les 3 semaines.

CSET 3675

ESPACE est un essai clinique de recherche translationnelle ayant pour but de développer un nouvel outil de diagnostic et de pronostic des liposarcomes.

Brièvement, les liposarcomes sont des maladies rares, dont le diagnostic peut être long et difficile, du fait de l'hétérogénéité des tumeurs. Ce projet permettrait à l'aide d'une simple prise de sang de déterminer la présence d'une tumeur et/ou le risque de récidive après chirurgie d'exérèse.

CSET 3850

Cette étude vise à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du RO7589831 à différentes doses chez les patients atteints de tumeurs solides de stade avancé, et comprendre la manière dont l’organisme répond au traitement.

Le RO7589831 est un nouveau médicament expérimental qui agit spécifiquement sur certains types de cellules cancéreuses présentant un déficit de réparation de l’ADN, ou dMMR, ce qui signifie que les réparations ne sont pas effectuées correctement, provoquant ainsi un type de dommage appelé instabilité des microsatellites, ou MSI.

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