Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Il s’agit d’une étude de phase 1, en ouvert, multicentrique, visant à évaluer la sécurité, la tolérance, la pharmacocinétique et la pharmacodynamique du BMS-986458, seul et associé à d’autres agents anti-lymphome, chez des sujets atteints de lymphomes non hodgkiniens en rechute ou réfractaires.
Les parties A1 et B1 de l’étude font intervenir le BMS-986458 seul. Les parties A2 et B2 font intervenir le BMS-986458 en association avec le rituximab.
Cette étude est menée pour la première fois chez l’homme et vise à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du PRT3789 chez des participants atteints de tumeurs solides avancées ou métastatiques sélectionnées avec mutation du gène SMARCA4.
Il s’agit d’une étude de phase I, en ouvert, qui recrutera environ 288 patients présentant des tumeurs solides avancées ou métastatiques au sein de 3 parties. La Partie 1 est la phase d’escalade de dose. Les Parties 2 et 3 constitueront la phase d’extension pour 2 indications spécifiques et auront pour but de déterminer la sécurité d’emploi, la tolérance, la PK, la pharmacodynamie et l’activité du TAK676.
Les options thérapeutiques pour les sarcomes des tissus mous ayant évolué à un stade avancé ou métastatique sont limitées. Il est donc indispensable de poursuivre les recherches pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques plus efficaces. L’une de ces stratégies repose sur l’administration de molécules qui ciblent de façon spécifique des mécanismes moléculaires impliqués dans le développement de la tumeur ; on parle de thérapie ciblée.
Le traitement du cancer rénal métastatique repose sur des traitements systémiques (combinaisons de thérapies ciblées/immunothérapie). Toutefois, une résistance au traitement apparaît fréquemment.
L’étude pionERA est une étude de phase III pour les patients atteints d’un cancer du sein, ER-positif, HER2- négatif résistant à un traitement hormonal adjuvant antérieur.
Elle se déroule en ouvert, ce qui signifie que toutes les personnes impliquées, y compris les patients et le médecin de l’étude, connaîtront le traitement que les patients reçoivent dans le cadre de l’étude.
Le trastuzumab deruxtecan (T-Dxd) a démontré son efficacité chez les patients ayant un cancer du sein avancé/métastatique (ABC), inopérable, surexprimant les récepteurs HER2 (HER2+) ou avec une faible expression de ces récepteurs (HER2-low). Cependant, ces patients représenteront un besoin médical non satisfait s’ils progressent au T-Dxd
Cette étude de phase 3 est menée afin d’évaluer l’efficacité du Sotorasib (bras étude) par rapport au Pembrolizumab (bras contrôle) en association à une chimiothérapie standard, chez des patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules, en première ligne de traitement pour un stade avancé de la maladie (stade IIIB/C ou IV). L’objectif est de déterminer l’absence de progression de la maladie dans les deux bras de traitements de l’étude.
L’objectif de cet essai est d’évaluer la sécurité, la tolérance, la pharmacocinétique et l’activité antitumorale du repotrectinib chez les jeunes adultes et les enfants atteints de tumeurs malignes avancées ou métastatiques porteuses d’altérations ALK, ROS1, ou NTRK1-3. L’étude comporte 2 phases (1 et 2) mais l’UE ne participera qu’aux cohortes 2 et 3 de la phase 2. Le traitement (gélules ou suspension liquide de repotrectinib) devra être pris par voie orale, indépendamment de la prise de nourriture, de la façon suivante :