Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Cette étude est menée pour en savoir plus sur l’AMG193 seul ou en association avec d’autres traitements chez des patients présentant des tumeurs thoraciques avancées.
La délétion du gène MTAP dans la tumeur est une condition nécessaire pour le traitement par l’AMG193 en raison de la façon dont ce médicament inhibe la croissance des cellules cancéreuses.
Les objectifs principaux consistent à étudier la dose maximale de médicaments qui peut être administrée sans danger et tolérée et d’étudier le profil de tolérance de l’AMG193.
Cette étude vise à déterminer une dose sûre et bien tolérée de [177Lu]Lu-DOTA-TATE dans le traitement du cancer bronchique à petites cellules à un stade avancé (CBPC-SA) récemment diagnostiqué et à évaluer l’activité préliminaire de l’association de traitements. [177Lu]Lu-DOTA-TATE est un analogue de la somatostatine (octréotate), radiomarqué au lutécium 177, et qui a une forte affinité pour le récepteur 2 de la somatostatine (SSTR2). Ce récepteur est exprimé en grand nombre sur certaines tumeurs dont les CBPC.
Actuellement, la prise en charge thérapeutique d’un adénocarcinome de la tête du pancréas, du
duodénum, de l’ampoule de Vater ou de la partie distale de la voie biliaire principale, nécessite la réalisation d’une chirurgie qui consiste à retirer toute la tête du pancréas et le duodénum. Cette chirurgie est appelée « duodénopancréatectomie céphalique (DPC ) ».
Cependant, la DPC est une chirurgie lourde qui peut entraîner des complications parfois graves, et notamment quand il existe une fistule pancréatique postopératoire symptomatique.
Cette étude vise à évaluer la sécurité et l'efficacité du raludotatug deruxtecan (R-DXd) chez des patients atteints de cancers gastro-intestinaux avancés.
Objectif : Déterminer si le cancer répond au traitement avec R-DXd, un conjugué anticorps-médicament.
Le RMC-6236 est un nouveau médicament potentiel qui a montré une activité anticancéreuse dans d’autres études. Cette étude comparera le RMC‐6236 à une chimiothérapie choisie par le médecin investigateur pour le traitement du cancer du pancréas métastatique. Les patients recevront le médicament à l’étude aussi longtemps qu’ils peuvent le tolérer, jusqu’à ce que leur cancer progresse, qu’ils décident d’arrêter le traitement, ou que l’étude soit arrêtée.
La chimiothérapie par aérosol intrapéritonéal sous pression (PIPAC) est une approche innovante qui permet d'administrer localement la chimiothérapie dans la cavité péritonéale par voie coelioscopique, avec une bonne tolérance, une faible toxicité et une qualité de vie durable et préservée.
L’objectif de l’essai est de comparer l'efficacité de la chimiothérapie d'induction par DCFm suivie d'une chimioradiothérapie standard (CRT) à la CRT standard seule pour le cancer épidermoïde de l'anus localement avancé.
Pour cela les patients seront randomisés en 2 bras :
Bras A (contrôle): CRT standard en 30 séances pendant 6 semaines avec une chimiothérapie concomitante Mitomycine-C et Capécitabine
Bras B (expérimental): Chimiothérapie d'induction par DCFm toutes les 2 semaines (4 cycles) suivie d'une CRT standard