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Gustave Roussy
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94805 Villejuif Cedex - France

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Urgences

Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11. En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.

GUSTAVE ROUSSY
1er centre de lutte contre le cancer en Europe, 4 000 professionnels mobilisés

CSET 3952

Le bleximenib est un médicament oral qui inhibe certaines interactions de protéines dont on sait qu’elles sont importantes chez les patients atteints de leucémie aiguë présentant des mutations dans les gènes KMT2A ou NPM1. L’objectif est de déterminer la sécurité, la tolérance et l’efficacité du médicament à l’étude. Le médicament est à prendre par voie orale pendant un cycle de 28 jours.

CSET 3945

Une recherche impliquant la personne humaine qui a pour objectif d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité de l’AZD3470 dans le traitement des hémopathies malignes récidivantes/réfractaires.

L'objectif principal de cette étude est de déterminer la meilleure dose sûre et tolérable d'AZD3470.

Environ 110 patients (54 patients dans la Partie A (escalade de dose) et 56 patients dans la partie B (expansion de dose)) participeront à cette recherche dans le monde dont environ 5 patients en France.

CSET 3828

OPTISAGE a pour but d’évaluer l’efficacité de la prévention de la maladie du greffon contre l’hôte par ATLG-grafalon comparé à l’ATG-thymoglobuline reçu pendant le conditionnement de la greffe.

CSET 3572

Il s'agit d'un essai national, ouvert, monobras, multicentrique de phase II, évaluant la sécurité et l'efficacité de l'ajout de giltéritinib, un nouvel inhibiteur de FLT3 à la plateforme AGORA, consistant en l'association d'une dose intermédiaire de cytarabine et d'une dose fractionnée de GO chez les patients adultes atteints de LAM R/R présentant une mutation FLT3-ITD.

Les objectifs principaux et secondaires de l’étude :

CSET 4026

Même Si des progrès considérables ont été réalisés concernant l'optimisation du traitement du cancer du col de l'utérus. Cependant, environ 50 % des patientes souffriront tout de même d'une maladie récidivante. Récemment l’immunothérapie en association avec la chimiothérapie et le bevacizumab ont montré l’importance de cette association pour améliorer la survie globale et la survie sans rechute des patientes en récidive permettant d’obtenir une AMM et un remboursement de l’immunotherapie pour les patientes en rechute métastique.

CSET 4012

L’objectif de cette étude est de savoir si l’association du tuvusertib avec d’autres produits agit contre le cancer de l’ovaire épithélial qui a progressé sous traitement par inhibiteurs de PARP.
La partie A de l’étude permettra de déterminer quelle association de traitement est la plus efficace « tuvusertib + niraparib » ou « tuvusertib + lartésertib »
Bras 1 (tuvusertib + niraparib) : 2 périodes prise de traitement J1 à J7 puis J15 à J21. 2 Période de pause J8 à J14 et J22 à J28

CSET 3971

1. Rationnel de l’essai

Les léiomyosarcomes (LMS) sont des cancers rares des tissus mous, parmi lesquels on trouve les LMS qui se développent dans l’utérus (LMS-ut). Même si la majorité des patientes présentent un LMS limité à l’utérus et opérable au moment du diagnostic, le risque de réapparition du cancer existe pour 4 patientes sur cinq dans les 3 ans.

CSET 3948

Comparer la mise en œuvre de soins oncologiques de supports (SOS) chez des patientes en rémission d’un cancer gynécologique (endomètre, ovaire, trompe, péritoine) après une première ligne de traitement, selon les modalités de remise du PPAC (plan personnalisé de l’après cancer) :

  • Groupe expérimental : Remise d’un PPAC lors d’une hospitalisation de jour (HDJ) avec des professionnels en SOS
  • Groupe contrôle : Remise du PPAC sans HDJ associée

On évaluera 6 et 12 mois après la remise du PPAC la proportion de patientes ayant débuté des SOS et leurs impacts.

CSET 3898

Cette étude évaluera la sécurité d’emploi, la tolérance, la pharmacocinétique (PK), la pharmacodynamique (PD) et l’efficacité préliminaire du IMP1734 chez des patientes atteintes d’un cancer du sein récurrent avancé/métastatique, d’un cancer de l’ovaire, d’un cancer de la prostate et d’un cancer du pancréas avec des mutations délétères/suspectées délétères de certains gènes de réparation par recombinaison homologue (RRH).

IGR 3882

Traitement personnalisé selon le profil moléculaire pour les patientes opérées d’un cancer de l’endomètre.

Le standard pour les patientes opérées d’un cancer de l’endomètre avancé est une chimiothérapie par carboplatine et paclitaxel (4 cycles toutes les 3 semaines). Dans certains cas il est également proposé une radiothérapie.
Pourtant toutes les patientes ne bénéficient pas de la chimiothérapie qui est à l’origine d’effets secondaires.

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