Adresse

Gustave Roussy
114, rue Édouard-Vaillant
94805 Villejuif Cedex - France

Standard

Tel : +33 (0)1 42 11 42 11

Urgences

Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11. En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.

GUSTAVE ROUSSY
1er centre de lutte contre le cancer en Europe, 4 000 professionnels mobilisés

CSET 4051

L’objectif principal de cette étude est de comparer si le BMS-986489 utilisé avec des médicaments de chimiothérapie permet aux personnes de vivre plus longtemps que les personnes qui prennent des médicaments de chimiothérapie et de l’atézolizumab.

Les objectifs secondaires de cette étude sont de comparer les paramètres suivants dans les deux bras de traitement :

CSET 4022

L'objectif de cette étude est de déterminer l'efficacité et la sécurité de l'acasunlimab (un anticorps expérimental également connu sous le nom de GEN1046 ou DuoBody® PDL1x4-1BB) en association avec le pembrolizumab (un autre anticorps, connu sous le nom de KEYTRUDA®) par rapport à celle du docétaxel (une chimiothérapie standard chez les patients atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) métastatique).

Les participants seront affectés à l'une des deux thérapies actives suivantes :

CSET 4011

Les participants à cette étude sont atteints d’un cancer Broncho-pulmonaire non à petites cellules (CBNPC) éligibles à une chirurgie.

L’objectif est de savoir si, après chirurgie, un traitement associant le V940 (conçu spécifiquement pour chaque participant) et le Pembrolizumab (immunothérapie) permet de prévenir la réapparition du CBNPC.

L’étude se déroule comme suit :

Avant la chirurgie : association de chimiothérapie et immunothérapie (Pembrolizumab) chaque 3 semaines pendant 3 mois.

CSET 4010

L’étude est conçue pour déterminer si le traitement par télisotuzumab védotine est supérieur au docétaxel chez les patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) nonépidermoïde surexprimant c-Met, portant le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) de type sauvage, ayant progressé après des traitements standard.

CSET 3938

L'objectif principal de cette étude est de déterminer l'efficacité et la tolérance du BAY 2927088 par rapport au traitement de référence, chez les participants atteints d’un cancer bronchique non à petites cellules avancé présentant des modifications génétiques spécifiques appelées mutations HER2.

Les participants recevront l'un des traitements à l'étude :

CSET 3933

Cette étude est menée pour en savoir plus sur l’AMG193  seul ou en association avec d’autres traitements  chez des patients présentant des tumeurs thoraciques avancées.

La délétion du gène MTAP dans la tumeur est une condition nécessaire pour le traitement par l’AMG193 en raison de la façon dont ce médicament inhibe la croissance des cellules cancéreuses.

Les objectifs principaux consistent à étudier la dose maximale de médicaments qui peut être administrée sans danger et tolérée et d’étudier le profil de tolérance de l’AMG193.

CSET 3466

Des mutations d’HER2 sont été identifiées dans environ 2 % à 4 % des cancer du poumon et peuvent etre la cause principale du développement du cancer.

CSET 3423

Cette étude vise à déterminer une dose sûre et bien tolérée de [177Lu]Lu-DOTA-TATE dans le traitement du cancer bronchique à petites cellules à un stade avancé (CBPC-SA) récemment diagnostiqué et à évaluer l’activité préliminaire de l’association de traitements. [177Lu]Lu-DOTA-TATE est un analogue de la somatostatine (octréotate), radiomarqué au lutécium 177, et qui a une forte affinité pour le récepteur 2 de la somatostatine (SSTR2). Ce récepteur est exprimé en grand nombre sur certaines tumeurs dont les CBPC.

CSET 4104

Actuellement, la prise en charge thérapeutique d’un adénocarcinome de la tête du pancréas, du

duodénum, de l’ampoule de Vater ou de la partie distale de la voie biliaire principale, nécessite la réalisation d’une chirurgie qui consiste à retirer toute la tête du pancréas et le duodénum. Cette chirurgie est appelée « duodénopancréatectomie céphalique (DPC ) ».

Cependant, la DPC est une chirurgie lourde qui peut entraîner des complications parfois graves, et notamment quand il existe une fistule pancréatique postopératoire symptomatique.

Pages