Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Cet essai de phase vise à évaluer des associations de traitements d’immunothérapie néoadjuvante chez des patients atteints d’un carcinome hépatocellulaire résécable (qui peut être retiré grâce à une opération chirurgicale).
L’association d’immunothérapies se fera grâce à trois bras de traitement :
Atézolizumab et Bevacizumab
Atézolizumab, Bevacizumab et Tiragolumab
Tobemstomig et Bévacizumab
L’objectif de cette étude est de comparer les effets favorables et défavorables de chaque bras de traitement.
Il s’agit de la première étude clinique chez l’homme portant sur les traitements à l’étude en association.
Les objectifs principaux de cette étude sont de déterminer la sécurité d’emploi et la tolérabilité des traitements lorsqu’ils sont administrés en association et déterminer le/les schéma(s) thérapeutique(s) recommandés pour la Phase 2 (RP2Rs) pour l'association.
Les traitements seront administrés par injection. Différents schémas de traitement peuvent être évalués.
Il s’agit d’une étude de phase 1, en ouvert, multicentrique, visant à évaluer la sécurité, la tolérance, la pharmacocinétique et la pharmacodynamique du BMS-986458, seul et associé à d’autres agents anti-lymphome, chez des sujets atteints de lymphomes non hodgkiniens en rechute ou réfractaires.
Les parties A1 et B1 de l’étude font intervenir le BMS-986458 seul. Les parties A2 et B2 font intervenir le BMS-986458 en association avec le rituximab.
Cette étude est menée pour la première fois chez l’homme et vise à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du PRT3789 chez des participants atteints de tumeurs solides avancées ou métastatiques sélectionnées avec mutation du gène SMARCA4.
Les options thérapeutiques pour les sarcomes des tissus mous ayant évolué à un stade avancé ou métastatique sont limitées. Il est donc indispensable de poursuivre les recherches pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques plus efficaces. L’une de ces stratégies repose sur l’administration de molécules qui ciblent de façon spécifique des mécanismes moléculaires impliqués dans le développement de la tumeur ; on parle de thérapie ciblée.
Le traitement du cancer rénal métastatique repose sur des traitements systémiques (combinaisons de thérapies ciblées/immunothérapie). Toutefois, une résistance au traitement apparaît fréquemment.
L’étude pionERA est une étude de phase III pour les patients atteints d’un cancer du sein, ER-positif, HER2- négatif résistant à un traitement hormonal adjuvant antérieur.
Elle se déroule en ouvert, ce qui signifie que toutes les personnes impliquées, y compris les patients et le médecin de l’étude, connaîtront le traitement que les patients reçoivent dans le cadre de l’étude.
Le trastuzumab deruxtecan (T-Dxd) a démontré son efficacité chez les patients ayant un cancer du sein avancé/métastatique (ABC), inopérable, surexprimant les récepteurs HER2 (HER2+) ou avec une faible expression de ces récepteurs (HER2-low). Cependant, ces patients représenteront un besoin médical non satisfait s’ils progressent au T-Dxd