Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Cette recherche s’adresse aux patients atteints de corticosurrénalome de stades localisés (I, II et III) qui ont bénéficié d’une résection chirurgicale complète mais qui présentent un haut risque de récidive de la maladie, déterminé par un pourcentage important de cellules tumorales en prolifération à l’examen de la tumeur opérée.
L’objectif de cette recherche est de déterminer la meilleure stratégie de traitement postopératoire, mitotane seul ou mitotane associé à la chimiothérapie par étoposide/cisplatine en terme de risque de récidive de la tumeur en post-opératoire.
Il s’agit d’une étude de phase III, randomisée, multicentrique, internationale, en ouvert, visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi du tinengotinib oral par rapport au choix du médecin (FOLFOX ou FOLFIRI) chez des patients atteints d’un CCA porteur d’une modification du FGRR, réfractaire à la chimiothérapie et aux inhibiteurs du FGFR/en rechute.
Environ 200 patients seront inclus dans cette étude de phase III.
L’étude porte sur un médicament expérimental, appelé REGN5837, en association avec un autre médicament expérimental, l’odronextamab. L’objectif de l’étude est de déterminer dans quelle mesure les médicaments à l’étude sont sûrs et tolérables, et de définir la dose recommandée pour la phase 2. L’étude porte sur des patients atteints d’un lymphome non hodgkinien à cellules B agressif, en rechute ou réfractaire.
L’étude s’intéresse à plusieurs autres questions de recherche, notamment :
De nombreux patients sont atteints d’un cancer du sein positif aux récepteurs des oestrogènes (ER+) et un nombre significatif de patients présente une récidive de la maladie, avec une incidence cumulée de récidive à 5 et 10 ans (8% - 14%).
Cette étude évaluera la possibilité d’un traitement prolongé par camizestrant (inhibiteur du ER+) pendant 5 ans, la durée prévue du traitement de l’étude est de 60 mois.
L’objectif est de comparer le taux de récidive et la survie suite à un traitement prolongé par camizestrant comparé au Standard of Care (SoC).
L’essai est à destination des patientes pour lesquelles 3 cycles de chimiothérapie supplémentaires sont prescrits après une cure de chimiothérapie néo-adjuvantes.
Les tumeurs avec un défaut de réparation des mésappariements de l’ADN (dMMR) ou une instabilité des microsatellites (MSI) sont généralement caractérisé par une instabilité génomique et hyper mutabilité due à une défaillance de la réparation des erreurs produites au cours de la réplication de l’ADN.
Cette instabilité génomique ou appelé plus couramment phénotype MSI /dMMR a étè associée à un bénéfice en survie sans progression et en qualité de vie à l’immunothérapie, pour certain sous types tumoraux.
SURVEILLE-HPV - Il s’agit d’une étude multicentrique, randomisée et ouverte de phase 2 comparant la stratégie de surveillance post-thérapeutique standard (recommandée par la SFORL) à une nouvelle stratégie de surveillance allégée associée à un dosage de l’ADNct du HPV réalisé par la méthode Droplet Digital PCR (ddPCR) à chaque visite.
Chez les patients présentant un carcinome épidermoïde à un stade oligométastatique devant recevoir un traitement par radiothérapie, il y a un risque élevé de développer des lymphopénies (baisse des cellules immunitaires) induites par la radiothérapie.